Une centaine de personnes de tout âge a bravé la chaleur pour venir écouter la conférence proposée par Catherine LLanes. Elles ont assisté à une conférence très vivante, bien structurée, mais qui laisse néanmoins des inquiétudes sur la résistance des bactéries aux antibiotiques qui pourrait causer en 2050 dix millions de décès par an dans le monde.
Face à ce constat, il faut améliorer la prévention, rechercher de nouvelles molécules et réfléchir à d’autres alternatives comme les bactériophages, des virus qui infectent spécifiquement les bactéries (déjà autorisés en Pologne ou en Russie) ou les huiles essentielles, dont la vente est en constante progression, mais dont l’utilisation n’est pas sans risques.
Un long débat s’en est suivi alimenté par de très nombreuses questions spontanées.