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Valorisation > Talents et distinctions

Nadia Morin-Crini et Grégorio Crini, une reconnaissance internationale

Chaque année, l’université de Stanford recense les 2 % des chercheurs dans le monde, tout champ scientifique confondu, dont les travaux sont les plus cités par leurs pairs de leur champ scientifique. Parmi les 2 % en 2022 : 24 chercheurs de l’université de Franche-Comté dont 2 ingénieurs de recherche du laboratoire Chrono-environnement : Nadia Morin-Crini et Grégorio Crini.

L’Université de Stanford a publié en décembre 2022 une liste qui recense les chercheurs les plus cités dans le monde par leurs pairs pour leurs travaux. Cette prestigieuse liste est établie sur les bases de données transdisciplinaires internationales de Scopus, une base de données bibliométrique transdisciplinaire de résumés et de citations de publications scientifiques. Elle couvre près de 22 domaines scientifiques et présente plus de 200 000 chercheurs parmi plus de 8 millions actifs dans le monde, soit 2 % des chercheurs.
Dans quel domaine de recherche apparaissent Nadia Morin-Crini et Grégorio Crini ?
Nadia est chimiste analytique, Grégorio, polymériste environnemental, en couple dans la vie comme au travail, ce sont des questions de chimie environnementale qui les rapprochent : améliorer la dépollution de l’eau contaminée par les effluents industriels ou découvrir de nouvelles applications des cyclodextrines notamment.
Le classement réalisé par l’université de Stanford, dans lequel Grégorio Crini figure en 994e position, a pris en compte 140 de ses publications dans la spécialité « chimie environnementale ».
Grégorio Crini (h-index 45, nombre de citations > 16900) a publié dans le prestigieux journal américain de l’American Chemical Society (FI > 72) et quatre articles dans Progress in Polymer Science (FI > 32). Trois de ses publications totalisent un nombre de citations supérieur à 7100 dans la base de données Scopus.
Nadia Morin-Crini (h-index 36, 1250 publications, citations > 5000), classée en 94806e position dans le classement de Stanford, a publié deux articles dans le journal réputé Progress in Polymer Science (FI > 32).

Une très belle reconnaissance pour nos chercheurs, le laboratoire et l’université de Franche-Comté.

publié le